Le 18 novembre 2024, le Bénin a réussi à décrocher son billet pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025 au Maroc, un moment de joie qui s’est rapidement transformé en cauchemar. Après le coup de sifflet final de leur match décisif à Tripoli, la célébration de cette qualification a été ternie par des violences inouïes.
Dès la fin de la rencontre, le stade a été pris d’assaut . Des jets de canettes, de projectiles et d’autres objets blessants ont fusé en direction des joueurs et du staff technique des Guépards. Pour leur sécurité, les membres de l’équipe ont été contraints de rester dans leur vestiaire pendant plusieurs heures, mais cette précaution ne suffisait pas . Alors qu’ils quittaient le stade, plusieurs membres de l’équipe ont été attaqués par des agents de sécurité libyens. Parmi les victimes, Gernot Rohr, le sélectionneur, a été frappé au bras gauche, tandis qu’Enrico Pionetti, entraîneur des gardiens, a reçu un coup à la tête. Des témoins rapportent qu’un policier libyen aurait été impliqué dans ces violences. Deux membres tunisiens du staff technique et plusieurs agents de sécurité béninois ont également été blessés. Les images qui circulent sur les réseaux sociaux montrent un entraîneur des Guépards, la tête bandée, tenant une poche de glace pour apaiser sa douleur. Ce spectacle déplorable jette une ombre sur le football africain et soulève des questions cruciales sur la sécurité des joueurs et des équipes lors des compétitions internationales.La Confédération Africaine de Football (CAF) se doit de réagir rapidement et fermement face à cette situation inacceptable. Il est impératif que les responsables de ces actes de violence soient identifiés et punis, afin de garantir la sécurité des joueurs. Le football doit être un vecteur de paix et de rassemblement, et non un terrain de violence.
Dès la fin de la rencontre, le stade a été pris d’assaut . Des jets de canettes, de projectiles et d’autres objets blessants ont fusé en direction des joueurs et du staff technique des Guépards. Pour leur sécurité, les membres de l’équipe ont été contraints de rester dans leur vestiaire pendant plusieurs heures, mais cette précaution ne suffisait pas . Alors qu’ils quittaient le stade, plusieurs membres de l’équipe ont été attaqués par des agents de sécurité libyens. Parmi les victimes, Gernot Rohr, le sélectionneur, a été frappé au bras gauche, tandis qu’Enrico Pionetti, entraîneur des gardiens, a reçu un coup à la tête. Des témoins rapportent qu’un policier libyen aurait été impliqué dans ces violences. Deux membres tunisiens du staff technique et plusieurs agents de sécurité béninois ont également été blessés. Les images qui circulent sur les réseaux sociaux montrent un entraîneur des Guépards, la tête bandée, tenant une poche de glace pour apaiser sa douleur. Ce spectacle déplorable jette une ombre sur le football africain et soulève des questions cruciales sur la sécurité des joueurs et des équipes lors des compétitions internationales.La Confédération Africaine de Football (CAF) se doit de réagir rapidement et fermement face à cette situation inacceptable. Il est impératif que les responsables de ces actes de violence soient identifiés et punis, afin de garantir la sécurité des joueurs. Le football doit être un vecteur de paix et de rassemblement, et non un terrain de violence.
Cet incident à Tripoli rappelle à tous que le chemin vers la CAN 2025 ne doit pas être pavé de violence, mais plutôt d’un esprit de camaraderie et de respect. Les Guépards, malgré les blessures physiques et psychologiques, doivent continuer à porter haut les couleurs nationales. Mais il s’avère important de notifier que des mesures doivent prises pour éviter que de tels événements à l’avenir.
Kenneth SALANON (Stag)