Quand la cellule devient tout un calvaire pour Bello, le serial lover aux 400 copulations

Affaire Baltasar : nouveau rébondissement dans le dossier

Quand la cellule devient tout un calvaire pour Bello, le serial lover aux 400 copulations
Quand la cellule devient tout un calvaire pour Bello, le serial lover aux 400 copulations

En détention depuis plusieurs mois suite à son arrestation, l’ex Directeur de L’agence d’investigations financières de la Guinée équatoriale serait soumis à des traitements inhumains.

Des lits de la luxure aux chaînes de l’enfer à Black Beach
Des lits de la luxure aux chaînes de l’enfer à Black Beach

Arrêté pour des soupçons de détournement de fonds publics, puis ayant fait objet de moultes discussions liées à la publication de vidéos s€xtap le concernant sur les réseaux sociaux, Baltasar Ebang Egonga est à nouveau au cœur d’un scandale à l’origine de tensions politiques au sein du régime équato-guinéen. Depuis la prison, l’ex patron de l’Agence d’investigations financières aurait récemment subi des aggravations des conditions de détention. D’après les informations rapportées par Jeune Afrique, des instructions de durcissement des conditions de détention de Balthazar seraient orchestrées par le sieur Teodoro Nguema Obiang Mangue, celui-là qui est d’ailleurs le fils du Président de la Guinée équatoriale et en même temps le vice-président de la république. Selon la même source, Balthazar recevait régulièrement des visites d’hommes de main issus de hautes sphères du pouvoir. Des visites au cours desquelles il est souvent torturé et soumis à des punitions corporelles. Il faut notifier que parmi ses visiteurs, figure le superviseur de la sécurité présidentielle Jesus Edu Moto. Au vu de son état de santé qui devenait critique après ces traitements, il a été temporairement extrait de sa cellule afin de recevoir des soins médicaux. Pour le moment, la procédure de son dossier  »soupçons de détournement de deniers publics » est toujours pendante devant la justice en attendant la poursuite des enquêtes.

Judicaël DAVO

Partager :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *